Aux pages 74 à 82 de «  La Passion de la Charité  » on raconte qu’Amélie confiait parfois à ses intimes…

"Ah ! si seulement j'avais un jardin attenant à la maison, j'en abriterais quelques-uns"  (des pauvres âgés et abandonnés). La métairie léguée par M. Henri Lemarié décédé en juin 1846, fut bienvenue. Les soucis juridiques n'empêchèrent pas Amélie d'agir. La veille de Noël 1846, la maison d'Henri Lemarié transformée en maison d'asile, recevait son premier hôte dans la personne de Guillemette Huet, ancienne couturière au village de Rothéneuf, âgée de 77 ans, sans autres ressources que la charité publique.

• Y retrouvez-vous les mouvements de la "miséricorde" c'est-à-dire : prendre dans son cœur la misère de l'autre, le rejoindre dans sa détresse, mais rester fort en l'aimant d'un amour créateur espérant?... Montrez de quelle façon Amélie l'a exercée.

            « …je te donne ce commandement : Tu dois ouvrir ta main à ton frère, à celui qui est humilié et pauvre dans ton pays. » (Deutéronome 15, 11)
            « ... le jeûne que je préfère dit Dieu: n'est-ce pas partager ton pain avec l'affamé, héberger chez toi les pauvres sans abri… »  (Isaïe 58, 7) 
            « J'ai eu faim... j'ai eu soif..., j'étais nu... »  (Mathieu 25, 35-36)     

Quels liens voyez-vous avec le témoignage d'Amélie ?