En lisant l’histoire d’Amélie Fristel dans «
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MILLE TRAITS DE CHARITÉ...Compassion |
Sa vigilance à secourir les pauvres… |
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« Amélie restait à l’affût de toute misère ; chez elle, la porte était toujours ouverte aux mendiants. Sa nièce se souvient qu’elle ne les renvoyait jamais sans leur avoir donné, avec le pain, du beurre ou des fruits, et surtout sans parler avec eux. « Ils lui racontaient leur malheurs, parfois si navrants que la charitable interlocutrice mêlait ses larmes aux leurs… » Elle fermait son bureau à six heures, alors elle partait soigner les vieillards pauvres, faisait leur lit, les changeait, faisait le ménage et passait deux nuits de suite auprès d’eux quand ils étaient malades… Amélie va encore porter son souper et manger une croûte de pain sec. » |
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Et l’évangile des Béatitudes nous raconte : |
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« J’avais soif et vous m’avez donné à boire » (Mt 25, 35) « J’étais prisonnier et vous êtes venu me voir » (Mt 25, 36) |
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Léa Amesse, ss.cc.j.m. | ||||||||||||||||||